C'est un ballet ... mais pas classique, ni contemporain, plutôt modern' jazz en fait. C'est assez rare finalement.

On doit la chorégraphie à Aaron Cash (un australien) et Roclan Gonzales Chavez (un cubain), elle est très belle, empruntant par-ci, par-là à du contemporain (pieds flexes), du classique (chaussons pointes), de la salsa. Elle est exécuteé par une troupe juste géniale : énergique, souple, professionnelle. Pas un danseur qui soit en-deçà du lot, et les gars font des sauts impressionnants.

A l'arrière de la scène : les musiciens (batterie, congas, clavier, guitare, trompette, chanteur et chanteuse) qui reprennent des classiques pop mais en les mettant à la sauce latino.

Je me suis juste laissée emportée. C'était bon. Et un peu frustrant, parce que ça donne envie de danser aussi.

Bref, ils passent encore une semaine au casino de Paris, si vous avez l'occasion, n'hésitez pas. Quoi que, bon, c'est vrai que je ne suis pas fan de la salle, même avec des places de catégorie 2, on n'a pas une vue parfaite de la scène), n'empêche, ça vaut quand même le coup.

Pour plus de renseignements : http://www.balletrevolucion.com .

Update : Autant la saison 1 était vraiment bien du début à la fin, autant la saison 2 (asylum) m'a déçue. Elle commençait bien pourtant. Mais après c'est vraiment parti dans tous les sens. La chronologie n'est pas très bien fichue. Et les 2 épisodes de fins : ouais, on voit bien qu'ils avaient bouclé l'histoire avant et que c'est un peu du remplissage. Pourtant, l'histoire et les persos étaient bons, ils auraient dû bosser un peu plus sur la structure.

16.07.2012 - Comme je ne suis pas fan des films d'horreur, j'ai hésité à me lancer dans cette nouvelle série (qui a débuté en octobre 2011 aux USA et qui est diffusée en France depuis le mois de mai).

Créée par Ryan Murphy (notamment réalisateur et scenariste de Mange, prie, aime ; de la saison 2 de glee et de Nip Tuck) et Brad Falchuk (scénariste et réalisateur des séries Nip / Tuck et Glee),

Dans une ambiance glauque, on y découvre une famille qui essaie de refaire sa vie dans le manoir qu'ils viennent d'acheter en Californie. C'est un nouveau départ pour eux après l'affaire extra-conjugale du mari (Dylan McDermott). Sauf que leur adolescente de fille n'est pas facile à vivre, que la mère n'est pas prête à pardonner à son mari, que la voisine (Jessica Lange) s'incruste, que sa fille (atteinte de trisomie 21) trouve toujours le moyen de se glisser dans la maison, que la bonne joue double jeu, qu'il y a un mec en tenue sado-maso et puis ....

Il y a plein de trucs bizarres dans cette maison !! Les deux premiers épisodes sont bien stressants, ensuite, on sait un peu plus où on va et on respire mieux, mais on s'attache tellement aux personnages et à ce qu'ils vont devenir que je suis réellement à fond !

On est sur la fin de la première saison (12 épisodes), et une seconde est programmée.

Ce thé là est une création de Mariages Frères et il est juste délicieux.

C'est un thé très fruité (fleurs et de fruits de Chine et du Tibet), léger et frais. Très agréable pour le soir, ou pour le goûter.

C'est mon thé fruité favori je crois.

Pour plus d'information : http://www.mariagefreres.com/marco-polo.html

Fin octobre début-novembre 2012, nous avons participé à la chasse aux trésors "Les enfants du Paradis" (Jeu de piste les enfants du paradis). Elle était organisé par la cinémathèque Française pour promouvoir leur nouvelle exposition, sur les enfants du paradis bien évidemment.

Mais avant d'y aller, il me fallait mettre la main sur le film, ce qui a mis un peu de temps. Ensuite, il a fallu trouver le temps de le regarder. Et pour finir, il fallait réussir à trouver un créneau dans nos agenda pour y aller !!

Mais jeudi dernier, c'était chose faite.

Les Enfants du Paradis, le chef-d’oeuvre de Marcel Carné, d’après un scénario de Jacques Prévert, est l’un des films français les plus connus dans le monde, admiré depuis sasortie en 1945. Jalonné d’extraits du film, le parcours de l’exposition présente plus de 300 pièces parmis lesquelles de nombreux documents rares : affiches, dessins, photographies, costumes, appareils, scénarios, correspondances... 

Je me suis régalée. Le parcours était bien fait. Les informations étaient interessantes. Ca valait le coup. Mais je pense vraiment qu'il faut avoir vu le film pour bien apprécier l'expo. Elle se tient jusqu'au WE prochain, 27 janvier. Si jamais vous avez le courage d'affronter la neige, allez donc y jeter un oeil.

Pour plus d'infos : http://www.cinematheque.fr/enfants-paradis.html.

En attendant, quelques photos (prises avec mon téléphone, donc désolée pour la qualité) pour vous donner un aperçu.

Depuis que Jo m'a dit que c'était simple de faire ses propres oursons au chocolat, ça me trotte dans la tête. Mais je n'avais pas les bons moules. Je n'allais quand même pas faire ça dans des moules à muffins quand même ?!

Mais les soldes m'ont apporté la solution ! J'ai trouvé des moules à chocolat. C'était samedi. Lundi, j'ai cherché un peu sur le net pour savoir comment faire ces oursons. Et hier soir, j'ai enfilé ma blouse de savant fou pour me lancer dans l'aventure.

Bon, alors, pour cette première expérimentation, j'ai pris 50g de chocolat noir patissier. Je l'ai fait fondre au bain-marie.

Jusque-là, tout va bien. Ensuite, prendre son pinceau de cuisine (oui, j'en ai un) et recouvrir l'intérieur des moules d'une fine couche de chocolat. Bon, là, ça devient plus compliqué, surtout avec des moules étoiles ! On reste concentrés, et hop, on met tout ça sur une assiette ou un plateau, et au frigo 15mn (aparemment, on appelle ça faire des coques).

On attaque ensuite la 2e étape : remplir les coques. Pour les oursons, normalement, il faut mettre des marsmallow au micro-onde avec une cuillère à soupe d'eau, mais je n'avais de marmallow. Par contre, j'avais un pot de Fluff (pate de marsmallow) dans mes placards qui n'attendait que d'être ouvert.

Je rempli mes coques en pestant (parce que c'est élastique ce truc !), puis je recouvre de chocolat, et je remets tout ça au frigo.

Une heure plus tard, mon ogre préféré demande à être mon cobaye.

On attaque alors la 3e étape : le démoulage. ben c'est pas si évident. Déjà, je me rend compte que je n'aurais pas du autant remplir les moules, il ne faut pas que le chocolat recouvre le haut du moule, sinon, c'est le plan galère pour démouler. Ensuite, faut réussi à ne pas éclater le chocolat au démoulage. Il y a malheureusement eu des blessés au cours de la bataille.

Vient alors la meilleure des étapes : la dégustation. Et le verdict, c'est que ce n'est pas mauvais, mais qu'on ne sent pas vraiment la pate de chamallow et sa texture est trop fluide.

Je vais donc retenter un de ces jours avec le chamallow au micro-onde. Et peut-être aussi en remplissant les coques avec la pâte/crème de chataignes faite il y a quelques mois.