• 5e film vu dans le cadre de la retrospective perles noires à la cinémathèque française.

    Mais ce fut la déception cette fois-ci.

    Réalisé par John Reinhardt, dont il semblerait que ce soit le seul et unique film ... ah ben j'aurais dû me renseigner avant, c'était un indice.

    Avec Cathy Downs et Paul Langton, de parfaits inconnus au charisme absent.

    Le pitch n'était pas mal : un prisonnier force un autre à s'évader avec lui, puis lui donne rendez-vous dans un petit bled où son ex doit le cacher jusqu'à ce qu'il le rejoigne. Bien sûr, elle est jeune, plutôt mimi, et ils sont sur la même longueur d'onde.

    Les personnages sont fades, les dialogues sont sans interêt, l'action ... quelle action ??

    Non décidément, c'est un film que l'on peut se passer de voir.


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  • Et encore un film noir, un !

    Réalisé en 1947 par Michael Gordon, Avec Ella Raines, Edmond O'Brien, William Bendix, Vincent Price.

    Un avocat dur à cuire, un riche industriel louche, une secrétaire femme fatale ... pimenter de meurtre et de vol, mélanger tout ça dans un shaker et vous obtiendrez un très bon film. Bien filmé, bien réalisé, avec un Vincent Price toujours excellent (on avait déjà beaucoup apprécié sa prestation dans Dragonwyck), des personnages crédibles et une histoire bien menée.

    Un petit bijou qu'il est rare de pouvoir visionner, alors n'hésitez pas à vous rendre à la cinémathèque française pour la seconde projection qui aura lieu le 27 juillet à 19h30.


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  • Décidemment, elle est très bien cette rétrospective perles noires.

    Et ce sont de superbes copies en plus.

    Le 3e film vu dans ce cadre a été réalisé en 1948 par Curtis Bernhardt et met en scène en ancien soldat, incarné par Robert Taylor, qui est interné dans un hopital pschychiatrique pour avoir étranglé sa femme. Mais est-il vraiment le coupable ? Si oui, c'est un meutrier machiavélique qui a prévu d'utiliser son amnésie comme défense devant la justice. Et si ce n'est pas lui, qui est-ce, et pourquoi ?

    Même si j'ai rapidement trouvé les réponses à ces questions, cela ne m'a pas empêché d'apprécier ce film pour savoir comment et pourquoi.

    Bref, à voir.

     http://upload.wikimedia.org/wikipedia/en/5/52/The_High_Wall_movie_poster.jpg 


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  • The Third Voice

    Réalisé par Hubert Cornfield, qui, il faut le reconnaître n'est guère friand d'éllipses ou de raccourcis qui auraient été les bienvenus.

    The third voice raconte comment un acteur de second rang est engagé par une femme jalouse pour tuer son patron et amant dans un village de vacances mexicain et usurper l'identité du mort.

    Certes, le film contient quelques longueurs, mais les acteurs sont excellents et il y a quelques surprises très agréables. De plus, je trouve que tous les éléments sont très bien amenés, et que l'intrigue tient très bien la route.

    Si vous avez loupé cette première projection, sachez qu'il y en aura une seconde le dimanche 31 juillet à 19h.


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  • http://www.taf.org/graphics/loophole.jpgEn ce moment, la cinémathèque française propose un cycle "perles noires".

    Le premier film que nous sommes allés voir dans ce cadre est Dangereuse enquête (Loophole) réalisé par Harold Schuster en 1954.

    Avec Barry Sullivan (les ensorcelés), Dorothy Malone, Charles McGraw (marcellus dans Spartacus de Stanley Kubrick).

    L'histoire : Un employé de banque accusé à tort de détournement de fonds se trouve impitoyablement harassé par un enquêteur d'assurance dont il est devenu l'obsession.

    Le film se laisse regarder. Les acteurs sont bons (on a vraiment envie de gifler l'enquêteur de l'assurance), c'est bien filmé, il y a des chassés-croisés bien faits, et on ne sait pas comment tout ça va se terminer. Ce n'est pas un chef-d'oeuvre, mais c'est agréable à découvrir un film inconnu.

    Pour ceux qui ont loupé la première projection, la seconde aura lieu le Jeudi 14 Juillet 2011 à 21h00.


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  • Le Caméléon Sorti sur les écrans en juin 2010, il repassait hier soir à la cinémathèque française avec une présentation de son réalisateur, Jean-Paul Salomé à qui l'ont doit également Arsène Lupin (avec Romain Duris), Belphégor (avec Sophie Marceau) ou encore Restons groupés.

    Le caméléon est une coproduction franco-américaine, apparemment, la version du réalisateur n'est pas celle des producteurs, et je ne sais pas quelle version est sortie sur les écrans en 2010.

    Je vous parlerais de la version que nous avons vu hier.

    Le Caméléon est inspiré de la véritable histoire de Frédéric Bourdin condamné à plusieurs reprises pour usurpation d’identité.

    Espagne, 2000 : un jeune homme sort de son mutisme. Il dit s’appeler Nicholas Mark Randall, être américain et avoir été enlevé quatre ans plus tôt par les membres d’une secte. Mais est-il vraiment celui qu'il prétend être ? Quant à sa famille, l'accueille-t-elle réellement de si bon coeur ? Que cachent-ils tous ?

    Servi par des acteurs d'une justesse incroyable (Ellen Barkin, Famke Janssen, Marc-André Grondin, Nick Stalh ... etc), avec une musique de Bruno Coulais qui aide à créer une tension permanente, ce film est une très bonne surprise et je le recommande chaudement.


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  • Deuxième film vu dans le cadre de la rétrospective Kubrick, il a été réalisé en 1956 (et est disponible en dvd depuis 2002).

    C'est en réalité la troisième réalisation de Kubrick. Le film est l'adaptation d'un roman de Lionel White, Clean break (paru dans la collection série noire, sous le titre En mangeant de l'herbe). Quant aux dialogues, ils sont signés Jim Thompson, l'un des maîtres du roman noirs, dont plusieurs oeuvres ont été adaptées au cinéma.

    Du côté des acteurs, on retrouve Sterling Hayden (Quand la ville dort) et plein d'autres habitués des films noirs (enfin, il me semble).

    Le résultat de tout ça est vraiment très très bon. La voix off donne le ton. les dialogues sont percutants. La narration est fluide. Il y a un second degré agréable. J'ai vraiment beaucoup aimé, bien plus que Spartacus.

    http://www.indelibleinc.com/kubrick/posters/1950s/posters/killing/killing-quad-30x40.jpg


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  • Spartacus Après la rétrospective Hitchcock, c'est au tour de la rétrospective Stanley Kubrick de s'inviter à la cinémathèque française.

    Nous en avons donc profité pour voir Spartacus, qui a été réalisé en 1960.

    Italie, 73 av. J.C. Esclave devenu gladiateur, Spartacus est épargné par un de ses compagnons d'infortune dans un combat à mort. Ce répit soulève en lui plus que jamais le souffle de la révolte, et après avoir brisé ses chaînes, il enjoint les autres esclaves à faire de même. Rapidement à la tête d'une colossale armée, Spartacus entend rejoindre le port de Brides au sud du pays pour prendre la mer à bord des navires ciliciens. Mais l'Empire romain ne l'entend pas de cette oreille et lance ses légions à la poursuite des esclaves révoltés...

    Dans le rôle de Spartacus : Kirk Douglas, qui est tout simplement parfait. Dans le rôle de sa dulcinée : Jean Simmons. Et à côté d'eux : Tony Curtis, Laurence Olivier, Peter Ustinov et Charles Laughton. Bref que des pointures !!!

    J'avoue que la réalisation est belle et poignante, la photo est précise. C'est réellement un beau film, même si personnellement, j'ai trouvé que 3h18 de film, c'était un peu longuet.

     


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  • Jason et les argonautesCe film de 1963 a été réalisé par Don Chaffey, qui,  bien plus tard, a réalisé de nombreuses séries comme : MacGyver,mission impossible 20 ans après, drôle de dames, chapeau melon et bottes de cuir ou encore le prisonnier.

    Il nous raconte que, pour retrouver son trône de Thessalie, Jason doit conquérir la Toison d'or. Il embarque à bord de l'Argo avec les Argonautes, hardis guerriers et marins, afin d'atteindre le royaume de Colchide, là où se trouve la dépouille du bélier magique...

    C'est ... un pur moment de bonheur !!

    Pourtant, côté scenar, c'est très très basique, et il y a pas mal de raccourcis abusifs. Pourtant, la fin est .... inexistante. Pourtant, les acteurs surjouent à mort. Pourtant, les effets spéciaux sont vieillots au possible.

    Mais croyez-le ou non, cela donne au film un charme suranné qui fait sourire de bout en bout et donne même la patate !

    Nous avons eu la chance de le voir sur grand écran à la cinémathèque française, mais si jamais il passe sur petit écran, n'hésitez pas ! Et vous pouvez même vous le procurer sur Dvd (il existe depuis 1999).


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  • La Main au collet Le dernier film de Hitchcock vu dans le cadre de la rétrospective de la cinémathèque française : La main au collet.

    Réalisé en 1955, on y retrouve Cary Grant et Grace Kelly.

    Cary Grant est John Robbie, un anglais cambrioleur émérite qui a pris sa retraite de la cambriole dans le sud de la France. Grace Kelly est une riche héritière dont la mère a de beaux bijoux. Alors quand une vague de cambriolage submerge la côte d'Azur, forcément, John Robbie est suspecté ! Mais il va mener l'enquête.

    Ce film est un petit bijou qui a notamment reçut l'Oscar 1956 de la Meilleure Photographie.

    A voir et à revoir !


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  • Frenzy Toujours dans le cadre de la rétrospective Hithcock à la cinémathèque, nous avons pu revoir "Frenzy".

    Réalisé en 1972 à Londres, il se démarque des précédentes réalisations de notre cher Alfred par une absence de grands noms, pas de grande vedettes à l'affiche, pas de belles actrices mais des femmes de tous les jours. Il est également plus cru dans les images, de la nudité à laquelle il ne nous avait pas habitué, mais utilisée juste comme il faut.

    Dans un Londres où sévit le tueur à la cravate, une sorte de Jack l'éventreur des temps modernes, un homme voit toutes les preuves qui s'accumulent contre lui, mais est-ce vraiment lui le tueur ? Le suspens est grandiose. La rythme est parfait. L'inspecteur et sa femme ajoutent la dose parfaite d'humeur pour contrebalancer un récit plutôt glauque.

    C'est du grand Hitchcock, et si vous voulez le voir ou le revoir, la prochaine projection à la cinémathèque se fera le mercredi 23 février à 21h. Si vous êtes libres, foncez !


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  • Et on continue avec la rétrospective Hitchcock.

    Cette fois-ci, il s'agit de l'un des rares films "en costumes" de notre cher Alfred, et réalisé en 1939 d'après une oeuvre de Daphné Du Maurier (qui avait également écrit Rebecca).

    La jeune irlandaise Maureen O'Hara (L'homme tranquille, le miracle de la 34e rue ...) y fait ses débuts dans le rôle d'une jeune femme qui vient de perdre ses parents et rejoint sa tante en Cornouailles. Mais elle va très vite apprendre que sa tante est l'épouse d'un naufrageur et que leur auberge (le Jamaica inn) est un repaire de brigands. Quant au juge de paix qui habite tout à côté et interprété par Charles Laughton (grimé au possible), pourra-t-il lui venir en aide ?

    Le roman est sûrement très bien car l'histoire est interessante, et les personnages attachants. Mais les naufrages des navires manquent cruellement de crédibilité : réalisés en studio, avec des maquettes. Quant au jeu des acteurs ... eh bien disons qu'ils n'hésitent pas à surjouer un poil. Du coup, le film se laisse regarder, mais fait sourire (voire rire) à certaines moments qui sont sensés être poignants ou angoissants. Dommage.


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  • Eh oui, cette semaine était Hitchcockienne. Après La loi du silence mercredi, on s'est a donc enchaîné deux films dimanche après-midi.

    On a commencé par Rebecca, que j'avais déjà dû voir, mais je ne me souvenais absolumment pas. Et c'est un vrai petit bijou. Avec un Laurence Olivier au charisme fou, une Judith Anderson crispante et Joan Fontaine innocente à souhait. Réalisé en 1940 ce film mêle à la perfection histoire d'amour, suspense et drame. Un vrai régal ! Tout en demi-teintes, avec des personnages finement ciselés. L'histoire : Un jeune Lord anglais emmène sa jeune épouse dans son manoir où plane le souvenir de sa première femme défunte, Rebecca... Il sera également projeté le Samedi 5 Février 2011 à 21h00.

     

    Quinze minutes plus tard (pas de temps à perdre !), on a enchaîné avec L'inconnu du nord express (strangers on train), dans un tout autre genre. Il s'agit ici d'une adaptation d'un roman policier de Patricia Highsmith. Un champion de tennis est abordé dans un train par un inconnu qui lui propose un étrange marché : il supprime sa femme encombrante si celui-ci se charge d'éliminer son propre père. Mais le tennisman ne prend pas la chose au sérieux ... peut-être aurait-il dû ! Jouant sur les angles de caméras le réalisateur nous fait assister au duel entre Robert Walker et Farley Granger, le suspence tient du début à la fin qui se termine en apothéose avec la scène du manège (mais je n'en dirais pas plus !). Il sera également projeté le Samedi 19 Février 2011 à 19h00.


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  • Hier soir avait lieu l'ouverture de la rétrospective Hitchcock à la Cinémathèque Française.

    Et pour bien commencer cette rétrospective, nous avons eu droit à l'avant première de la ressortie en salle de La loi du silence, qui était sorti en 1952, en noir et blanc.

    Au Québec, un homme revêtu d'une soutane abat un avocat pour lui dérober son argent. Le soir du drame, il se confesse auprès du père Michael Logan, qui n'est autre que le beau gosse Montgomery Clift.

    Plus proche du drame psychologique que du thriller, le film m'a bien tenu en haleine. C'est bien filmé, les personnages sont bien plantés. C'est à voir.


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  • Ils ne passent pas que des vieux films à la cinémathèque. Pour les abonnés (dont on fait partie), il y a aussi des avants-premières, en présence des acteurs et du réalisateur !!

    Lundi, c'était celle des chemins de la liberté (the way back), un film qui ne sortira que le 26 janvier 2011 sur les écrans français.

    Cela raconte comment, en 1940, une petite troupe de prisonniers décide de s’évader d’un camp de travail sibérien et leur périple pour rejoindre l'Inde et échapper au communisme.

    Réalisé par Peter Weir (the truman show, green card, le cercle des poètes disparus, Witness) et basé sur une histoire vraie.

    Avec Jim Sturgess, Ed Harris, Saoirse Ronan (Lovely bones), Colin Farrell .... qui étaient tous à quelques mètres de nous ... en costards cravates. La classssseeeeeeeee !

    Bon, et le film ? Eh bien il y avait des images superbes, c'était poignant, et ils ont même réussi à me faire pleurer. Bref, c'est vraiment un très beau film.


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  • http://www.photos-films.com/flm/aff/orig/120/La-Blonde-platine.jpgUn de mes réalisateurs préférés : Frank Capra. Il est célèbre pour John Doe, La vie est belle, Mister Smith au Sénat, et bien d'autres encore.

    Je trouve qu'il y a dans ses comédies un charme carrément surranné qui me touche à chaque fois.

    La blonde platine n'a pas fait exception à la règle. Pourtant, il faut admettre que, réalisé en 1931, il ne bénéficie pas de grands acteurs mais plutôt d'acteurs qui semblent issus du cinéma muet, c'est à dire qui surjouent sans vergogne. De plus, j'ai du mal à comprendre comment Jean Harlow ait pu paraître une beauté, même pour l'époque. Et pour finir sur les critiques, disons que l'acteur principal : Robert Williams n'a pas beaucoup de charisme.

    Et pourtant ...

    Pourtant ... je me suis juste régalée de voir le journaliste intègre Stew Smith s'amouracher d'une fille de la haute société qui le mène bien entendu par le bout du nez, alors que la jolie Loretta Young, une de ces collègues est faite pour lui. C'est donc officiel, je suis irrécupérable.


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  • Réalisé par Fritz Lang (M Le maudit) en 1948. Ce thriller met en scène une jeune héritière (Joan Bennett) qui craque sur un inconnu (Michael Redgrave) lors d'un voyage au Mexique. Ni une, ni deux, les voilà mariés. Mais le mari a parfois des réactions bizarres qui effraient sa jeune épouse. Et cela ne fait que s'accentuer lorsqu'ils reviennent dans l'Etat de New York.

    Notre cher Fritz Lang fait monter le suspens à la perfection, place sa camera de main de maître et joue avec les ombres avec brio. Quelques petits raccourcis scénaristiques m'ont gêné, mais ce n'était que des points de détail, je l'avoue. L'histoire tient quand même assez bien la route (bien que les réactions de Joan Bennett me semblent d'un autre temps, ou tout simplement un peu suicidaire) et puis le suspens est vraiment bon.


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  • Gilda Réalisé par Charles Vidor en 1946, ce drame met en scène la sculpturale Rita Hayworth dans une relation passion/haine avec Glenn Ford.

    Tout se passe en Argentine où une petite frappe croise la route d'un propriétaire de boite de nuit. Il finit par se faire engager et devenir le bras droit de cet homme, mais lorsque ce dernier épouse Gilda, les choses se compliquent.

    Certaines scènes sont d'anthologie : Rita Hayworthqui rejette son abondante chevelure en arrière, ou lorsqu'elle enlève élégamment son gant.

    Mais même si on rentre dans l'histoire, au final, on est quand même déçu parce qu'il manque des éléments à l'histoire des personnages pour que tout s'emboite. Et puis l'intrigue est bien légère.

    Bref, même si c'est un grand classique, ce n'est pas forcément une grande réussite.


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  • Bringing up baby a été réalisé en 1938 par Howard Hawks (Les hommes préfèrent les Blondes), avec Cary Grant, Katerine Hepburn (le même duo que dans Sylvia Scarlett ... mais bien meilleur cette fois-ci) et produite par la RKO.

    Il s'agit d'une screwball comedy, c'est à dire une comédie plutôt déjantée qui part dans tous les sens. Nous avons un paléontologue fiancé à sa secrétaire coincée qui rencontre une jeune femme sur un terrain de golf et elle va faire de sa vie en enfer, sans le faire exprès. Quiprocos et dialogues percutants s'enchaînent autours d'un guépard apprivoisé, d'un chien fan de nonosse d'un autre âge et de la donation d'un million de dollars.

    Et je suis sûre que vous reconnaîtrez George the dog ... c'est le Asta du Thin man !!

    Cette comédie est géniale. A voir et revoir absolument. Des scènes d'anthologie. Un humour tordant. Des acteurs brillants. J'adooooooooooore.

    Et sur grand écran ... c'est encore mieux !


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  • Brigadoon

    Hier, on s'est fait un marathon de vieux films à la Cinémathèque Française.

    On a commencé à 17H par Brigadoon, une comédie musicale réalisée en 1951 par Vincente Minnelli (le père de Lisa Minnelli), avec Gene Kelly et Cyd Charisse. Jeff Douglas, homme désabusé et Tommy Albright, idéaliste, se perde dans les Highlands d'Ecosse et y découvrent un village qui semble sorti du 18e siècle. Un village qui n'apparaît pas sur les cartes. Un village qui semble avoir une histoire bien à elle. 

    Vincente Minnelli arrive à créer une superbe ambiance, mais les numéros musicaux traînent un peu trop en longueur, et l'histoire reste très simpliste, tout réside en fait dans l'ambiance. C'est un grand classique, mais pas une des meilleures réalisation de Vincente Minnelli.

    Les Hommes préfèrent les blondesUn p'tit tour en quatrième vitesse au starbuck pour des chocolats chauds, donuts et pancakes, et nous voilà de retour à la Cinémathèque 5 minutes avant le début de la séance suivante. La salle est déjà presque comble, et décidément, les places tout devant ne sont pas les plus confortables, mais cela ne nous a pas du tout empêché de profiter pleinement du petit bijou de Howard Hawks : Les Hommes préfèrent les blondes. 

    Réalisée en 1954, donc dans la même période que Brigadoon, cette comédie musicale n'a rien à voir avec la première ! Avec Marylin Monroe, fan de diamants et de millionnaires (c'est dans ce film que Marylin, dans sa belle robe rose, chante "Diamonds are the girl's best friends") et son amie Jane Russell, brune qui préfère les beaux mais pauvres messieurs. Comédie de moeurs très réussie, avec des dialogues piquants et des numéros musicaux très entraînants. A voir et revoir !

    MogamboTrente petites minutes pour prendre un café et des oranges pressées au 51 (le café-restaurant de la cinémathèque) et nous voilà de retour dans la salle Franju, bien mieux installés (pile au milieu de la salle et au milieu de la rangée). Dernier film du marathon : Mogambo !

    Réalisé en 1953 par John Ford, on y suit les aventures d'un triangle amoureux composé de Clark Gable en chasseur de fauves, d'Ava gardner en fille facile au caractère bien trempé et de Grace Kelly, (récompensée par le Golden Globe de meilleure actrice de second rôle pour l'occasion) une blonde naive dont le mari n'a pas le charme sauvage du célèbre Clark. Le tout se déroule au Kenya ... c'est là que le bas blesse : les paysages et les scènes animalières semblent tirées de reportages, avec des couleurs différentes du reste du film. Mais si l'on fait abstraction de cela, le film faut vraiment le détour.


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