En 2002, on s'extasiait sur le dernier Pixar : Monstres et Compagnie. Un univers créatif, une animation à tomber, une gamine craquante, de l'humour à revendre, des personnages marquants.

Cette année, Pixar nous offre un préquel : Monstres Academy, réalisé par Dan Scanlon (et non Pete Doctor, David Silverman et lee Unkrich, réalisateurs du premier opus), qui n'a fait qu'un court métrage avant ce film.

On y retrouve Bob Razowski et James P. Sullivan, étudiants à la Monster University pour devenir des terreurs. Ouais, Bob Razowski en terreur, pas évident n'est-ce pas. Il y a des terror games, il y a des fraternités, il y a une doyenne d'université dure et inflexible.

Ca se laisse bien regarder. C'est drôle. C'est bien fait. Même si ce n'est pas aussi bien que le premier (forcément, il n'y a pas la petite Bouh et on n'a pas le plaisir de la découverte de l'Univers), c'est quand même vachement sympa !

Oh, tiens, ils ont créée un site internet de la Monster University !!

http://monstersuniversity.com/edu/, c'est excellent, y'a même une boutique avec des T-Shirt et autres !

Ah et j'ai aussi fait des amigurumis sur le thème !! http://knittinat.kazeo.com/amigurumi-crochet/bebes-bob-amp-sully,a3773053.html

Il y a une semaine, nous avons découvert le palais des congrès. Pourquoi ? Parce qu'il héberge un UGC qui projettait ce film d'animation pas.en.3D, c'est que c'est pas si évident que ça à trouver comme type de séance !

Bon, mais qu'est-ce que c'est les mondes de Ralph ? Le dernier dessin animé des studio disney, réalisé par Rich Moore (aussi réalisateur de pas mal d'épisodes des Simpsons).

Et autant Brave, le dernier Pixar, ressemblait à un Disney, autant les mondes de ralph ressemble à un Pixar.

Ne serait-ce que le pitch le laissait déjà présumer : Ralph est un personnage de jeu vidéo dont le rôle est de casser, pour que Félix Junior puisse réparer ce qu'il casse. Quand la partie est finie, tous les personnages vivent leur vie, mais lui vit exclut, dans une décharge. Pas une vie de rêve et il décide de gagner une médaille pour se faire accepter, mais pour ça ... il doit aller faire un tour dans les autres jeux vidéos de la salle d'arcade.

Ce film d'animation est juste une tuerie. Bourré de tonnes de petites idées géniales et réellement bien réalisées. Les personnages sont terribles. La p'tite nana de Sugar Rush, Penelope, est à croquer et à cogner contre les murs en même temps, avec une bouille pas possible. La super sergent et son passé dramatique sont une pierre de plus à cet édifice. Et je ne parle même pas du felix old school. C'est juste génial, et on en sort avec une grosse banane et en bougeant le popotin en rythme de Sugar Rush.

Vive Ralph !!!

En juillet 2009, on était allés voir le 3e opus, comme on n'a pas été déçus (cf. Scrat 3 ... euh, enfin je voulais dire Ice Age 3), il était normal qu'on n'abandonne pas la série en cours de route ! Donc dimanche : direction le cinéma !!

On retrouve tous nos personnages, et on en découvre de nouveaux, tout aussi excellents. La mamie de Syd (attention, elle n'a pas froid aux yeux), le gorille pirate, tout son équipage.

Scrat est toujours le fil conducteur et est toujours aussi drôle.

Le rythme est enlevé. On ne s'ennuie pas. On rigole bien. Bon, ok, on aura sûrement oublié les détails dans 2 semaines, mais en attendant, on a passé un bon moment, et c'est le principal !

Allez, y'a plus qu'à attendre l'épisode 5, ça marche tellement bien qu'il y en aura sûrement un.

Réalisé par Peter Lord, producteur de Souris city, Chicken Run et les Wallace et Gromit.

Il s'agit d'un film d'animation traditionnelle en stop-motion très très bien fait, avec un gros soucis du détail.

De plus, c'est très drôle, avec plein de second degré et un excellent doublage. Je me suis donc régalée à suivre le Capitaine Pirate qui, malgré son enthousiasme, a beaucoup de mal à se faire passer pour une terreur des mers. Secondé par un équipage aussi peu doué que lui, le Capitaine rêve pourtant de battre ses rivaux, Black Bellamy et Liz Lafaucheuse, en remportant le prestigieux Prix du Pirate de l'Année. La reine Victoria, un singe humain et Darwin vont croiser son chemin pour compliquer un peu l'histoire et essayer de s'appropier un dodo.

Ce n'est peut-être pas le meilleur film d'animation qui soit, mais je n'ai aucune critique à émettre, il est vraiment à voir.

Le premier volet était sorti en 2008 et était un vrai régal.

Le 2e est sorti ce mois-ci, mais a changé de réalisateur, puisque Jennifer Yuh était aux commandes (et fait ses premiers pas en tant que réalisatrice), et non plus Mark Osbourne et John Stevenson. Et on voit en effet une petite différence.

Certes, l'animation est superbe, et les characters designs sont très bons, mais le scenario est moins abouti, et l'humour n'est pas aussi présent. Je dirais donc que nous avons passé un bon moment, mais qu'on ne s'est pas autant éclaté que sur le premier.

Je vous en avais parlé le 19 juillet 2010 (il y a donc un sacré bout de temps, et je vous avais annoncé sa sortie pour avril 2011.

Eh bien ça y est, il est sorti, et avec près d'un mois de retard, on est allés le voir !

Ce film d'animation a été réalisé par Gore Verbinski, à qui l'on doit notamment Pirates des caraïbes.

Quant à l'histoire ... eh bien il était une fois un Caméléon tout seul dans son bocal et qui ne savait pas vraiment qui il était quand un beau jour, sur une route près de Las Vegas, il échoue dans le désert et trouve une ville du Farwest où l'eau est une denrée rare.

Ce dessin animé sort du lot par son réalisme. D'ailleurs, Mister Verbinski a été assisté par une équipe spécialisée non pas dans l'animation mais dans le cinéma en prises de vues réelles. Inventant pour l'occasion un nouveau procédé, baptisé l'"Emotion-Capture", le réalisateur a demandé à ses comédiens de jouer les scènes du film sur un plateau, en costumes et avec de vrais décors. L'équipe technique a ainsi pu enregistrer leurs voix, et a également filmé leurs expressions et leurs déplacements à l'aide de caméras HD, s'en inspirant plus tard pour animer les personnages.

Les clins d'oeil au style Western sont légions !! Les personnages sont crados à souhait. Les méchants ont de vrais gueules de méchants. Mais quand on s'attend, disons "à du pixar", c'est destabilisant, et sur le coup, je n'ai pas réellement apprécié. Pourtant, c'est un dessin animé de qualité, il est juste plus orienté adultes qu'enfants (et je suis restée une "grande" enfant).

C'est vraiment à voir ! Allez-y !

En 2004 Sortait le film d'animation intitulée "la véritable histoire du petit chaperon rouge", eh bien une suite est prévue !!!

Sortie aux USA le 29 avril ....

Voici le dernier né des studio Gibli (à qui l'ont doit Totoro, Princesse Mononoké, le voyage de Chihiro ....), le numéro 18 pour être exact.

Il est adapté du roman de Mary Norton : Les Charpardeurs (paru en 1952) et est la toute première réalisation de Hiromasa Yonebayashi.

Dans la banlieue de Tokyo, sous le plancher d’une vieille maison perdue au cœur d’un immense jardin, la minuscule Arrietty vit en secret avec sa famille. Ce sont des Chapardeurs, des minipousses.

Ce film d'animation en 2D (Ca fait du bien de temps en temps de la retrouver cette bonne vieille 2D) est magnifique. Une belle animation, un dessin superbe, une histoire touchante. C'est réellement un beau film.

Par contre, c'est un peu lent, ce qui en fait un long métrage qui n'est pas destiné aux enfants, mais plutôt à leurs parents. J'ai beaucoup apprécié, mais j'ai préféré d'autres films du studio Gibli, que j'ai trouvé plus dynamiques.

Je n'avais malheureusement pas réussi à trouver le temps pour aller le voir au ciné, et c'est fort dommage, parce qu'il est vraiment très bien ce film d'animation des studios Dreamworks réalisé et scénarisé par Chris Sanders (également réalisateur et scénariste de Lilo & Stitch, scénariste de Mulan et Aladdin) et Dean Deblois (également co-réalisteur et co-scénariste de Lilo & Stitch).

J'ai beaucoup aimé le design des personnages et des Dragons (il faut savoir qu'il y a plusieurs races de dragons), et l'animation est tip top. Quant à l'histoire, elle est fort sympathique et bourrée de traits d'humour. Il s'agit d'un jeune vicking qui n'est pas comme le reste de son peuple, ce n'est pas un gros bras bagarreur et tueur de dragons, au grand damne de son père. Mais sa rencontre avec un Dragon va changer la donne.

Je me suis bidonnée, j'ai été émue, je me suis régalée. C'est vraiment à voir et avant que ne sorte la suite, prévue pour 2013 (oui, ça vous laisse un peu de temps).

Dernier petit bijou des studios Pixar, sorti le 14 juillet sur nos écrans français, Toy Story 3 est la digne suite des 2 premiers opus.

Réalisé par Lee Unkrich (à qui l'ont doit également Monstres & Cie ainsi que le monde de Nemo).

On retrouve Jessie, Buzz, Woodie et tous les autres jouets, qui ont bien du mal à surmonter le départ d'Andy pour l'université. Et les voilà qui se retrouvent confrontés à un gros nounours qui sent la fraise.

C'est tout simplement génial, c'est un cran très au-dessus de shrek 4. Il y a des trouvailles toutes les 30 secondes. On se bidonne, on verse sa petite larme, on se régale. Faut aller le voir !!! Absolument.

Hier soir, nous sommes allés voir le 4e volet de Shrek (Il était une fin), en 3D.

Il n'est peut-être pas aussi bon que le 1 ou le 2, mais il est quand même très très bien.

Le chat botté devient le chat potelé, Fiona se transforme en amazone, 'Tit biscuit devient gladiateur, et tout ça parce que Shrek a du mal avec le traintrain quotidien et la vie de famille. Comme quoi, il faut toujours faire attention à ses souhaits, et auprès de qui on les formule. Il faut toujours se méfier du lutin tracassin.

On ne voit pas le temps passer, les gags sont toujours très bons, l'animation est belle. Bref, on a passé un très bon moment.

Sorti en 2009, c'est l'adaptation en long métrage de petits sketchs de 2 minutes diffusés sur Canal +. Je ne sais pas ce que valait la série, mais le film est excellent !

Les décors sont superbes. Côté perso, j'accroche moins, mais bonne animation, donc tout baigne.

Côté voix, on a droit à Vincent Cassel pour Tony Merguez (ouais, ouais, comme la saucisse), à Diam's pour Jenny, à Omar et Fred pour Sammy et Narbé ... bon casting.

Bon, j'avoue qu'au départ, j'aurais presque eu besoin d'un sous-titrage, parce que je ne parle pas le verlan couramment (oui, ce sera ma prochaine formation ...). Mais ensuite, je me suis bidonnée de bout en bout. Ca enchaîne les gags. L'histoire se tient bien ... ah, ouais, l'histoire au fait !

Condé-sur-Ginette, HLM à perte de vue, grand soleil, c'est l'été, tout le monde rêve des plages de Santo Rico. Mais pour Tony Merguez et José Frelate, c'est grillé, l'agence de voyage responsable de leur billet a mal compris le nom de la destination. Retour à la case Ginette ! Pour se refaire, Tony tente de refourguer un peu d'herbe. José tente de monter le sauna norvégien d'un gros ponte. Tout aurait pu rouler, si une maîtresse en furie, des réalisateurs plutôt amateurs, des policiers énervés ou encore un juge coriace, n'en avaient décidé autrement...

Quand un cours est annulé à la dernière minute, qu'on n'a pas de quoi réviser sous la main, qu'on ne peut pas rentrer chez soi parce qu'on est trop loin, rien de tel qu'une petite séance de ciné !!

Et c'est comme ça que j'ai enfin pu aller voir Planète 51 (souvenez-vous, j'avais posté la bande annonce il y a une éternité - cf. Planète 51), un film d'animation 3D.

Eh bien je n'ai pas été déçue ! Je me suis marrée de bout en bout.

Réalisé par Jorge Blanco dont c'est le tout premier film, scenarisé par Joe Stillman à qui l'ont doit également le 2 premiers Shrek. L'histoire est toute bête, prenez les Etats-Unis des années 60 avec la peur des invasions extraterrrestres et tout et tout, et transposez-les sur une planète alien avec des cadillacs volantes, et des habitants verts. Dans ce contexte, faites débarquer un jeune astronaute de la nasa qui n'a pas inventé la poudre et qui est crâneur au possible, faites-lui rencontrer un jeune alien qui va tenter de le tirer des pattes des militaires aliens, ajouter une sonde qui a du chien et vous aurez une petite comédie qui vous fera vous marrer et oublier vos soucis.

La 3D, c'est bien beau, mais la 2D de notre jeunesse, c'était quand même si bon aussi ... alors Walt Disney a renoué avec elle pour nous proposer "la princesse et la grenouille".

C'est un joli conte qui se déroule à la Nouvelle Orléans et dans les bayous alentours. Je ne vous spoilerais pas en vous disant que c'est l'histoire d'une jeune femme qui embrasse une grenouille et ... qui se retrouve elle-même grenouille, c'est ballot. Normalement, ce baiser aurait dû rendre son apparence humaine au prince, mais quand le vaudou s'en mêle, ce n'est pas si simple.

De la musique cajun, du swing new orleans mettent un peu de pep's dans tout ça. Une bonne pincée d'humour rend le tout agréable. Mais on peut quand même se dire qu'ils auraient pu compliquer un peu l'histoire, enfin bon, c'est du disney, ils ne vont pas non plus nous créer des dilemnes trop cornéliens ou nous imposer des théories freudiennes.

Bref, si vous voulez passer un bon moment et retomber en enfance, c'est un dessin animé qu'il vous faut voir !

C'est gé-nial, c'est beau, c'est touchant, c'est drôle, c'est juste parfait. C'est juste un des meilleurs pixars. Allez le voir !

Ah, vous voulez connaître l'histoire ? Bon, ok, je vous donne 2-3 indices  : Mister Frederickson est un vieux monsieur qui va réaliser le rêve de sa vie, il va embarquer avec lui un jeune scout (toujours), il va rencontrer des êtres étranges, tout ça sur fond de ballons gonflés à l'hélium, pour le reste, découvrez-le par vous-même !

Sorti vendredi, on n'aura pas attendu pour aller le voir, et en 3D s'vous plait !

J'ai trouvé que ça mettait un peu de temps à se lancer, mais dès l'arrivée de Buck, la Belette borgne un peu dingo, c'est rien que du bonheur. Les passages avec  Scrat sont comme d'habitude hilarants. Rien à dire sur l'animation, elle est superbe.

 Par contre, contrairement à Monstres contre Aliens, la version 3D n'apporte pas beaucoup au film. N'empêche que ça aura été bien que le Gaumont aquaboulevard ne brouille pas le signal des lunettes 3D au tout début du générique de fin avec Syd et les bébés dinausaures qui nous font une p'tite choré', non mais !