• Si vous voulez visiter la chapelle Sistine, vous n'avez pas le choix, il vous faut faire la file pour le musée du Vatican, verser 15 €, traverser plein de salles, certaines blufflantes, d'autres pas très interessantes, toutes avec leur stand de souvenirs (dont des photos du pape, ou des chapelets), et si vous êtes patients, vous atteindrez la Chapelle, peinte par Michel Ange. Attention, la chapelle est bondée, vous devez y chuchoter, et les photos sont interdites. Bref, que du fun. Mais bon, c'est vrai qu'elle est belle.

    Quelques photos du musée :

     
     

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    Première étape, l'intérieur de la coupole, mais pas tout en haut, de jolies fresques sur les murs, mais un grillage pour éviter les sauts à l'élastique je suppose.
     
     
    Ensuite, encore quelques marches (parmi les 300), et on accède tout en haut, sur l'extérieur, où on profite d'une superbe vue sur Rome.
     
     
     
     
     

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  • Après 20 mn de queue sur la place Saint Pierre pour passer le portique de sécurité, nous voilà dans la basilique Saint Pierre .... bluffante !

     
     
     
     
     
     
     

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  • On en a visité tellement que je ne saurais même plus dire où ces photos ont été prises !

     
     
    Il y en a une qui sortait du lot, non par sa beauté mais parce qu'elle était vraiment très différente des autres. Il s'agit de la All saints anglican church qui se trouve via sel babuino, pas très loin de la Piazza Spagna.
     

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  • Ils se trouvent juste à côté du colysée, et attention, c'est gigantesque ! Il ne faut pas enchaîner directement après le colysée, il faut faire une pause entre les deux si vous voulez tenir la route.

    Il y a un musée, un stade, une belle vue sur Rome, d'ancienne habitations ... c'est vraiment à voir, en prennant son temps si possible.

    Le Mont Palatin est une des 7 collines de Rome. Quadrilatère irrégulier d'environ 2 kilomètres de circonférence (je vous avez bien dit que c'était gigantesque) et d'une altitude de 70 mètres, le Palatin est constitué de deux sommets : le Germal à l'ouest et le Palatual à l'est, et occupait une position centrale dans l'ancienne Rome. Elle donne sur le forum romanum au nord et sur le circus maximus au sud.

     
     
     

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  • Enfin, je crois que c'est son nom, il se situe entre le palatino et le coloseo.

     
     
     

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  • Tout d'abord, il faut savoir qu'il y a une longue file pour acheter ses billets, mais on a trouvé une astuce ! Vers 10h30, la file est énorme, mais vers 15h30-45, il n'y a pas grand monde, et on peut en profiter pour acheter ses places pour le lendemain. Mais attention, s'il est possible de visiter jusqu'à 17h, en revanche, à partir de 16h, il n'est plus possible d'entrer, donc il faut bien calculer son timing. Le prix du billet est de 12 €, mais il permet également d'accéder au palatino et au forum.

     

    le Colisée a été utilisé pour la chasse d'animaux sauvages, les combats de gladiateurs et autres spectacles publics. Il est resté en service pendant près de 500 ans, les derniers jeux se prolongeant jusqu'au VIe siècle. Outre les jeux traditionnels de gladiateurs, de nombreux autres spectacles y ont été organisés, tels que des simulacres de batailles navales (, des chasses d'animaux sauvages, des exécutions publiques, des reconstitutions de batailles célèbres et des drames basés sur la  mythologie romaine. Le bâtiment a finalement cessé d'être utilisé au cours du haut Moyen âge. Il a plus tard été réutilisé pour des buts variés tels que des habitations, des ateliers d'artisans, le siège d'un ordre religieux, une forteresse, une carrière et un sanctuaire chrétien.

     

    Le Colisée est en état de ruine, en raison des dommages causés par les tremblements de terre et la récupération des pierres.

     

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  • En passant par Campo Di Fiori, par la basilique (ou l'église) S. Maria Della Consolazione (qui est décevante par rapport aux autres), par la basilique Di S. Nicola In Carcere, par La Isola, une sorte d'île sur le Tibre et à laquelle on accède par le ponte Fabricio, par le quartier de trastavere, qui est le vieux Rome, c'est agréable de s'y balader, mais cela n'a pas le charme du Rome Antique et on en est vite reparti.

     
     
     
     

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  • A un arrêt de bus du Coloseo, sur la piazza Venezia, se trouve le Monumento a vittorio Emmanuel II. Un gros truc blanc énorme appartenant au ministère de la culture, et très étroitement surveillé. Interdiction de s'asseoir sur les marches, sinon, les gardes n'hésitent pas à utiliser leur sifflet !

     

    Au centre du monument surgit l'Autel de La Patrie (Altare della Patria), tandis qu'à l'intérieur du bâtiment se trouve le musée sur la réunification de l'Italie (Museo del Risorgimento) ainsi d'une salle d'exposition. Du 1er au 25 février, elle était dédiée à Di Mario Russo.

     

    L'immense monument d'un blanc immaculé a été réalisé entre 1895 et 1911 pour célébrer les 50 ans de l'Unité Italienne. Il fut bâti en l'honneur de Victor Emmanuel II, premier roi de l'Italie unifiée.

     
     
     
    La construction de ce bâtiment fut controversée parce qu'elle causa la destruction d'un quartier médiéval autrefois accroché aux pentes du Capitole.

    Sur l'arrière du bâtiment, on accède à la basilique S Maria In aracoeli. Une basilique très moderne qui n'a plus recours au feu, mais à l'électricité.

    A partir des terrasses, une superbe vue sur la ville, mais s'il vous en faut plus, vous pouvez prendre l'ascenseur panoramique qui vous conduira encore plus haut, pour la modique somme de 7 €. Vous pouvez également manger au snack (sous verrière) qui se trouve sur l'une des terrasses, on y mange très bien, et pour pas trop cher : 4 € le sandwich, et toujours la superbe vue sur Rome. Par contre, il y a pas mal de monde, et il faut sauter sur la première table qui se libère.

     
     
     

     


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  • Voilà le meilleur rapport qualité/prix trouvé sur Rome !

    Le restaurant se trouve via del seminario, 111 Al Pantheon, donc . Il est ouvert tous les jours, de 21h30 à 2h00. Il propose des sandwichs, mais il y a également d'autres choses à commander à la carte. Il ne s'agit pas de plats romains ou italiens, et ce n'est pas non plus de la grande cuisine, mais ça se laisse manger, ils ne facturent pas les 1 à 3 € supplémentaires pour le couvert, le lieu est vraiment sympa, avec des canapés cuirs et une jolie déco, les sandwichs sont à 3 euros, les bouteilles d'eau minérales à 1 €, leur vin blanc est très bon, et ils ne lésinent pas sur la quantité (pour un grand verre de vin : 3 €).

    Décidément, une bonne adresse à retenir !


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  • Après le Panthéon lui-même, on a vadrouillé dans le quartier : Piazza di Montecitoria, Piazaa Colonna, Piazza Novona.... etc.

     
     

    On a même poussé jusqu'au Tibre, du côté du Ponte Sisto et du Ponte Garibaldi. Mais il n'y avait rien de particulier, aucune ambiance, ou bâtiment historique. Donc pas de photo !


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  • À l’origine, le Panthéon était un temple dédié à toutes les divinités de la religion antique. Le Panthéon original fut construit en -27, au début du règne d’Auguste. Le grand incendie de Rome de l’année 80 détruisit plusieurs temples, dont le temple d’Agrippa. Le Panthéon d’Agrippa fut détruit par un nouvel incendie en 110. Il fut entièrement reconstruit sous le règne de l’empereur Hadrien, vers l’an 125. Aujourd’hui, le Panthéon est un carrefour touristique au cœur des vieux quartiers de Rome, et donne sur la Piazza della Rotonda (place de la Rotonde), à laquelle il a donné son nom. Voici quelques photos du panthéon et de la Piazza della Rotonda.

     
     
     
     
     

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  • ... mis à part le fait qu'ils sont fous.

    - Ce sont de grands fans des lunettes de soleil rayban, modèle aviateur ou Jackie.

    - Ils font des chocolats chauds à se damner, crémeux, épais et très chocolatés. Ils sont généralement à 5 €. Ils vont énormément me manquer ces chocolats chauds.

    - Certaines rues de Rome sont bordées d'orangers (et non de bêtes chênes classiques), et en cette période de l'année, plein d'oranges alourdissent leurs branches.

    - Les rues sont très propres, ce n'est pas nécessaire de surveiller ses pieds pour éviter des crottes de chien.

    - Sur les additions des restaurants, il apparaît comme par magie une ligne à laquelle on ne s'attend pas, pour le pain et le couvert, et qui est facturé entre 1 et 3 € par personne. Ca surprend !

    - Le touriste doit verser une taxe de 2 € par personne et par nuit passée à Rome.

    - Durant les 5 jours passés à Rome, il n'a plu qu'une soirée, mais il a également plu des vendeurs de parapluie, une vraie averse. Toutes les 2 mn, on nous proposait à la sauvette l'achat d'un parapluie. Au bout d'un moment, ça donne envie de les tabasser avec leurs parapluies, certains essaient quand même de nous mettre leur marchandise dans les mains. Grrrrrrr, foutus vendeurs de parapluies.

    - Si vous avez envie de déguster un Hamburger dans un restaurant, vous verrez en réalité dans votre assiette un bête steak hâché avec des frites. Pas de pain !!

    - Il y a des télés partout : dans les restaurants, dans le métro, dans les bus, dans les couloirs de la gare ... partout !!

     


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  • C'était la première église que nous avons visité. Elle a été construite en 1626 et se situe non loin du panthéon. Le plafond est orné d'une magnifique fresque en trompe-l'oeil, dix-sept mètres de large sur trente-six mètres de long. Juste superbe, et la photo ne rend vraiment pas honneur à la réalité. C'est bluffant. La fresque a été peinte en 1685 par Andrea Pozzo. La fresque représente l’apothéose d’Ignace de Loyola et l’allégorie de l’œuvre missionnaire des Jésuites. Parmi les figures qui l’entourent, apparaissent des allégories des quatre continents transfigurées par leur conversion due aux missions jésuites, d’autres jésuites sanctifiés, éloignés d’ Ignace en fonction de leur rang, ainsi que des orants.

     
     
     
    Dans l'église, il y avait également une maquette, représentant une église par pays. Assez jolie.
     

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  • Notre premier restaurant romain. Dans le centre historique. On a esquivé 2-3 restaurants qui affichaient tous le même menu et les mêmes prix, et on a atterrit au 1 de la via del caro.

    Comme il y avait un grand beau soleil, on a décidé de s'installer en terrasse, mais il y avait aussi une salle à l'intérieur si la météo avait été moins clémente. Les plats de pâtes étaient à environ 7-9 euros. Ils se laissaient manger, mais ce n'était pas non plus exceptionnel, et les serveurs étaient plutôt froids.

    Bref, pas une des meilleures adresses.


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  • Le premier jour, on s'est pas mal baladé ... un peu au hasard la plupart du temps.

    Voilà ce qu'on a pu voir lors de cette première journée. Je ne pourrais pas vous dire exactement où ont été prises ces photos, ... c'était à Rome.

     
     
     

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  • Tout d'abord, si vous atterrissez à l'aéroport de ciampino, vous avez la possibilité de prendre une navette "atral" (3,9 € par personne) et qui vous conduira jusqu'à la gare de Termini, qui se trouve dans le centre de Rome et à partir de laquelle vous pourrez prendre métro ou bus pour rejoindre votre hotel.

    Ensuite, vous avez la possibilité de prendre un pass pour plusieurs jours, il vous permet de prendre tous les transports en commun, autant de fois que vous le souhaitez (à savoir que si vous n'optez pas pour le pass, chaque trajet coûte 1 €, donc l'intérêt du pass dépend de la localisation de votre hotel et de vos projets de visite).

    Pour 5 jours, le pass coûte 16 €, et pour 3 jours, il coûte 11 €. Vous pourrez vous le procurez à l'aéroport.

    Vous avez également la possibilité de prendre un Roma pass pour 3 jours à 25 €, ce pass cumule les transports avec l'entrée gratuite dans 2 musées et des tarifs réduits dans d'autres musées.

    Pour plus de détails sur ce pass à 25 € : http://www.rome-italie1.com/roma-pass-a-rome-6247.html.

    A Rome, il existe 2 lignes de métro, la A (rouge) et la B (bleue), créées en 1955. et qui se croisent à Termini  Une troisième ligne serait en construction. Les métro eux-même sont modernes, mais les couloirs sont bétonnés et vraiment glauques.

    Les bus, quant à eux, desservent très bien la ville, mais à l'intérieur même du bus, point de plan de la ligne, ce qui peut conduire à louper son arrêt (non, non, ça ne nous est pas arrivé !) ou à prendre le bus dans le mauvais sens (euh, ça par contre, ça nous est arrivé, mais on a des excuses ! C'était le premier jour, on n'avait aucun point de repère, et on n'avait dormi que 4 heures. Si ce n'est pas des bonnes excuses ça !). Oh, et s'il existe des plans du métro, nous n'avons pas pu mettre la main sur un plan des lignes de bus.


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