• Les frigos, 91, Quai de la gare

    Tel est le titre de la géocache qui nous a permis de découvrir cet endroit qui se trouve non loin de la BNF (Métro Bibliothèque, sur la ligne 14). L'extérieur est très sympa à découvrir avec beaucoup de graffitis, mais aussi pour le bâtiment lui-même. Dommage qu'on n'ait pas pu entrer à l'intérieur, où se trouvent plein d'ateliers d'artistes, on a loupé les portes ouvertes d'une semaine.

    Pour plus de renseignements sur ce lieu : http://les-frigos.com/

    Oh, et juste à côté se trouve un café manga très sympa, avec plein de bidules et de trucs rigolos. Et une rue plus loin, c'est la rue René Goscinny, je vous en parlerais dans pas trop longtemps, enfin, dès que je trouverais quelques minutes, ce qui n'est pas gagné, il y a tellement de caches à découvrir dans Paris.

    Voilà ce qu'il est dit dans la description de la cache :

    "Après la grande guerre 14-18, Paris se reveille et il est temps d'approvisionner les Halles en produits frais. La Compagnie Ferroviaire de Paris-Orléans entreprend la construction des "Frigos". La gare Frigorifique de Paris-Ivry voit ainsi le jour en 1921. Les trains s'engouffraient dans le corps du bâtiment pour libérer leur marchandise, des rails fixés au plafond prenaient le relais du train tandis que des machines produisaient la glace nécessaire aux denrées.

    A la fin des années soixante, la disparition des Halles de Paris et l'ouverture du marché de Rungis entraînent l'arrêt de l'activité des entrepôts frigorifiques qui, dès lors, sont quasiment laissés à l'abandon durant une quinzaine d'années.

    La SNCF, propriétaire des lieux depuis 1945, autorisa la location d'un premier lot  en 1980. Dès lors, toute une population d'artistes investit cette friche industrielle.  Ainsi, après de longs et durs travaux à rendre le lieu habitable, naquit un village peuplé d'artistes.

    Pendant longtemps, seules élévations du quartier avec les Grands Moulins et leurs silos, au milieu des voies ferrées, les Frigos se trouvent aujourd'hui au coeur d'un quartier qui se veut moderne.

    Leurs sort est incertain: considérés comme une friche industrielle, ils devaient être détruits pour laisser place à des constructions contemporaines. Grâce à de nombreux soutiens le site est pour le moment préservé."

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