C'est gé-nial, c'est beau, c'est touchant, c'est drôle, c'est juste parfait. C'est juste un des meilleurs pixars. Allez le voir !

Ah, vous voulez connaître l'histoire ? Bon, ok, je vous donne 2-3 indices  : Mister Frederickson est un vieux monsieur qui va réaliser le rêve de sa vie, il va embarquer avec lui un jeune scout (toujours), il va rencontrer des êtres étranges, tout ça sur fond de ballons gonflés à l'hélium, pour le reste, découvrez-le par vous-même !

7 Heures de route sous le cagnard et nous voilà enfin en vacances à Bordeaux ! Et regardez la boule de poils qui nous y attend. Une boule de poils nommée Betamèche. Ne vous fiez pas à son apparence. Rien qu'à son nom, tous les bordelais tremblent, car cette terreur (aussi mannequin à ses moments perdus) a fait de l'Escalier En Colimaçon son territoire. Gare à celui qui veut traverser ce No cat's land. Un miaulement terrifiant nait au fond de sa gorge. Ses poils se dressent jusqu'à s'envoler, c'est sa technique pour étouffer ses victimes. Passez votre chemin braves gens, Betamèche veille !

La première saison de cette série créée par Alan Ball (six Feet Under, American Beauty) a débarqué en 2008 et nous a scotché. A la fin de chaque épisode, il y a un p'tit suspens bien amené qui, personnalement, je me fais pousser un p'tit cri de rage quand je sais qu'il va falloir que j'attende pour voir la suite.

C'est une histoire de vampires (tirée des romans de Charlaine Harris : "Southern Vampire Mysteries", d'ailleurs, la rumeur dit qu'elle apparaîtrait dans l'épisode final de la saison 2). Des vampires qui se sont dévoilés au reste de l'humanité depuis qu'un substitut au sang a été développé et commercialisé : le true blood. Il y a ceux qui détestent et craignent les vampires, d'autres qui prennent leur sang comme de la drogue, d'autres qui en tombent amoureux ... tout ça dans l'atmosphère lourde et poisseuse des bayous. Et dans ce contexte, dans une petite ville de Bon Temps, Louisiane, une série de meurtres. Les victimes : des sympathisants vampires.

Dans la saison 2, on retrouve tous les personnages, seuls ceux qui sont morts entre temps (pas de revenant pour le moment, mais allez savoir), et paf, on commence par un nouveau meurtre ... et si c'était un loup-garouqui avait fait le coup ?! Tout est possible dans cette série !! Vivement les prochains épisodes !!

Et si vous êtes accros et aimez le merchandising, allez sur le site d'HBO (http://store.hbo.com/?v=hbo_shows_true-blood), il y a des mugs, casquettes et T-shirt plutôt sympa (sigle du merlotte, de l'équipe de foot américain de bon temps, "real blood is for suckers), mais aussi le coffret Dvd de la 1ère saison, la B.O et même ... du true blood !! Si si, bon, ok, c'est exactement la même bouteille, mais à l'intérieur, c'est du soda à l'orange, mais quand même (http://store.hbo.com/detail.php?p=105736&v=hbo_shows_true-blood)!

Henri Cartier-Bresson est un photographe français pionnier du photojournalisme allié à la photographie d'art (si vous voulez en savoir plus : http://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_Cartier-Bresson). Cette année, plusieurs musées lui consacrent une exposition pour célébrer le centenaire de sa naissance (happybirthday to you, dear Henri).

A la maison européenne de la photographie (5/7 rue de Fourcy - 75004 PARIS, métro saint Paul - ligne 1), l'expo a débuté le 15 avril et se terminera le 30 août. Et on n'a pas encore réussi à y mettre les pieds !!! Bon, d'accord, j'admets, vu qu'on cherche à y aller exclusivement un mercredi entre 17h et 20h étant donné que c'est gratuit à ce moment-là, on s'est limité les possibilités. Mais quand même, vous avouerez qu'on a joué de malchance !

On a fait une 1ère tentative en juin, On était à l'heure, il faisait beau, on se pointe à la maison européenne de la photographie, et là, ils nous annoncent que c'est fermé pour cause de changement d'exposition. On n'avait pourtant rien noté sur le site. Alors forcément, on a affiché une mine déconfite, on a pesté, mais on s'est dit que ce n'était pas grave, qu'on avait jusqu'au 30 août quand même !

Mais la malédiction en avait décidé autrement. Lorsqu'enfin on a eu à nouveau un mercredi dispo, c'est le Dieu des transports qui s'en est mêlé. Alain s'est retrouvé bloqué à Brochant par un accident grave de voyageur (foutus voyageurs). Impossible d'arriver sur les lieux de l'exposition dans les temps pour pouvoir en profiter. C'était donc encore une fois à l'eau !

Et maintenant, c'est trop tard ! On n'a plus aucune disponibilité jusqu'au 30 août, avec les vacances et tout et tout. ARggggggghhhhhh.

Alors si jamais vous réussissez à y aller, dites-nous si c'est bien.

Et puis en ce qui nous concerne, on essaiera quand même d'aller voir une autre exposition à la rentrée ... histoire de vérifier si c'est l'expo qui était maudite, ou carrément la maison européenne de la photographie. 

Sans vouloir faire de promo, je vous conseille d'aller acheter vos ingrédients chez Tang Frères, dans le 13e arrondissement, vous les y trouverez tous, et bien moins cher qu'à votre supermarché habituel.

Voilà, vous avez tout (enfin, si vous voulez, vous pouvez aussi prendre des feuilles de menthes, mais personnellement, je n'ai pas trop aimé) ... C'est parti, et c'est tout bête.

Il suffit de raper les carottes, de concasser les cacahouettes, de faire cuire les vermicelles 3 à 5 minutes dans l'eau bouillante salée (laissez refroidir), de couper le porc et de le faire revenir à la poele avec un filet d'huile et du sel (là encore, laisser refroidir). Mettez chaque ingrédient dans un saladier, petit bol, assiette (enfin bref, ce que vous avez dans vos placards), prévoyez un saladier avec de l'eau. Tremper votre galette de riz dans l'eau jusqu'à ce qu'elle soit maléable, l'installer confortablement sur votre assiette, et remplissez là avec un peu de tous les ingrédients (attention de ne pas en mettre trop, sinon, vous  n'arriverez pas à refermer proprement votre rouleau de printemps et toute la garniture va en profiter pour mettre les bouts). Trempez dans la sauce si vous le souhaitez, et déguster.