Au salon du chocolat, il y a des habitués : le comptoir du cacao, Lindt, Baileys, Gü ... parmi eux se trouve un chocolatier auprès duquel on se founit depuis des années :

Denis Daubos. Non seulement le monsieur est très sympathique, mais en plus, il a toujours des nouveautés, des innovations toujours originales et délicieuses. A noter qu'il concocte aussi quelques friandises, tels que des pop-corns caramélisés enrobés de cacao, ça se mange tout seul. Malheureusement, il en a arrêté la production cette année. Snif. Par contre, ses chocolats à la ganache à la framboise sont à tomber !! Pour en savoir plus sur ses produits : http://denisdaubos.voila.net/, et pour devenir fan, ou simplement suivre son actualité et ses venues en région parisienne, il y a son facebook ! http://www.facebook.com/group.php?gid=153453985915#!/group.php?gid=147181642587.

Il y a également Pralus. Mais peu nous importe son chocolat à lui, c'est à sa praluline qu'on s'en prend : une brioche aux pralines à se damner (http://www.chocolats-pralus.com/fr/praluline-recette-de-la-praluline.html). Et l'avantage, c'est qu'il a une boutique sur Paris au 35 rue Rambuteau, dans le 4e, sur la ligne 11.

Et on arrête de saliver sur les claviers s'il vous plait !

Désolée, les photos ont été prises avec mon téléphone portable, la qualité n'est donc pas au RD, mais au moins, ça donne une impression d'ensemble, et ça pourrait donner envie à certaines pour le salon de l'année prochaine.

Pour commencer, le fauteuil religieuse :

Pour bien commencer sa rétrospective Fritz Lang, la cinémathèque française a organisé au MK2 bibliothèque la projection de la version intégrale de Métropolis.

Réalisé en 1927, il semblerait que plein de passages du film aient été perdus. Dernièrement une copie intégrale a été trouvé en Amérique du Sud ( à Buenos Aires), ce qui a permis de compléter la version habituellement projetée (pour plus de détails : Une version quasi complète de "Métropolis" retrouvée en Argentine)

Metropolis est adapté d'un roman de Thea Von Harbou, l'épouse de Fritz Lang. Elle a également participé à l'écriture du scénario. L'histoire est très futuriste : Des ouvriers travaillent dans les souterrains d'une fabuleuse métropole de l'an 2026. Ils assurent le bonheur des nantis qui vivent dans les jardins suspendus de la ville. Dans ce contexte, un savant fou va créer un Androïde qui va semer la zizanie en ville.

Les décors sont énormes, surtout pour l'époque. Et de même, pour l'époque, les effets spéciaux sont impressionnants. Et ils ont  quand même embauché 36 000 figurants. Les producteurs de la Ufa, à Berlin, ont d'investit 30 millions d'euros dans ce film.

Le résultat : un film muet, mais avec une musique qui fait oublier l'absence de paroles. Un robot marquant. Des images qui s'impriment sur la rétine. Oh, et un méchant espion à la tête de requin (oui, ça m'a marqué !). Mais quand même, du scôté du scenario, il y a un peu tout et n'importe quoi. L'histoire elle-même est excellente, mais il y a plein de trucs à côté, qui ne rentrent pas forcément dans l'histoire et que j'ai trouvé en trop.

Bref, je suis ravie de l'avoir vu, et je me suis régalée, mais avec des passages où je me suis dit "mais qu'est-ce que ça vient faire là ça", ou alors "euh, je crois que je n'ai pas bien compris là".

La grille pour le motif :

J'ai découvert ce comique, et son spectacle (un one-man show proche du stand up) grâce aux Bragelonniens, que je remercie donc chaudement, parce que je me suis réellement régalée !

Son humour est grinçant, et politiquement incorrect, parfois même un peu méchant, mais c'est si bon !! C'est fin, bien amené, bien écrit.

De plus, le théâtre du rond point est un lieu plutôt sympa, avec des salles bien conçus.

Si vous n'y allez pas d'ici le 23 octobre, vous pouvez toujours voir le spectacle, à la salle Gaveau à partir du 8 novembre (http://www.sallegaveau.com/la-saison/429/gaspard-proust). 

Vraiment une très jolie découverte. Merci pour ce cadeau !