Il s'agit du 3e tome du cycle d'Ender (qui fait donc suite à la stratégie d'Ender, et à La voix des morts), écrit par Orson Scott Card et publié en 1991.

On y retrouve tous les personnages qu'on avait quitté à la fin de "la voix des morts" car cela se déroule tout de suite après, et ça fait du bien ... ! D'un autre côté, j'avoue que cette fois-ci, j'ai eu un peu de mal à arriver à la fin des 573 pages de ce roman de science-fiction, parce qu'il faut être honnête : il y a pas mal de longueurs. Et même si je n'ai pas pu m'empêcher d'aller jusqu'au bout, à une centaine de pages de la fin, j'ai commencé à prendre moins de plaisir, alors qu'on atteignait le dénouement. J'aimerais entrer dans les détails, mais je risquerais de spoiler ceux qui n'ont pas encore lu cette trilogie, qui vaut vraiment le détour.

Là où je suis bien embêtée, c'est que j'ai à la fois envie de lire le 4e tome de la série, car il y a de nouveaux personnages qui arrivent à la fin du tome 3 et dont on a envie de savoir ce qu'ils vont devenir, et à la fois, la fin m'ayant un peu déçue, je n'ai pas très envie de lire cette suite. Argh, que faire ?!

Bruce Willis, Morgan Freeman, John Malkovitch et Helen Mirren sont des Retraités extrêmement dangereux sous la direction du réalisateur Robert Schwentke à qui l'ont doit flight plan, et lie to me.

Ces anciens agents de la CIA sont pépères, l'un est en maison de retraite, l'autre drague par téléphone une nana de sa caisse de retraite (Mary-Louise Parker, l'héroïne de Weeds) et d'autres sont plus ... bizarres. Et tous vont devoir reprendre du service pour échapper à la mort, parce que, oui, quelqu'un veut la mort de Bruce Willis (honte à lui, bouh, faut pas tuer Bruce Willis). Qui, quoi, et comment ? Il vous faudra voir le film pour le savoir.

Certes, ce n'est pas du grand cinéma, mais c'est du cinéma d'action drôle et pas mal fait, qui se laisse gentimment regardé le soir au coin du feu. Oui, on passe un bon moment, alors pourquoi se priver ?

Il s'agit d'un thé noir parfumé, pas forcément un de mes favoris, mais pas mauvais quand même, surtout à l'heure du thé.

Il est constitué d'un mélange de thés de Chine non fumés et de Ceylan agrémentés d'huiles essentielles de cannelle et de citron, d'écorses d'agrumes, et d'arômes de caramel et de pomme.

Plusieurs boutiques de thé le proposent.

Voici un resto découvert lors d'une soirée filles.

Il se trouve dans le quartier de Bastille, dans la rue Saint Sabin.

Les plats sont entre 9 et 13 €. Leur confit de canard au miel et aux épices est vraiment très bon, de même que leur mi-cuit au chocolat, qui est juste parfait. Et pour accompagner tout ça, ils ont de chouettes vins.

L'ambiance est chaleureuse, il y a plusieurs salles à la déco vraiment très sympa. Décidément, c'est une adresse à retenir !! Mais attention, mieux vaut réserver (au 01 47 00 13 53) car c'est blindé de monde.

Ingrédients pour 6 mini cakes :

150 g de beurre
150 g de sucre
3 oeufs
200 g de farine
1 sachet de levure
100 g de pépites de chocolat

Préparation :

Pendant que le four préchauffe à 180°, battre dans un saladier le beurre (préalablement fondu), les oeufs et le sucre.

Ajouter ensuite la farine et la levure, puis les pépites de chocolat.

Verser la pâte ainsi obtenue dans 6 moules à mini cakes, et faire cuire 25 mn à 180°.