• Cette recette (http://theheritagecook.com/chocolate-brownie-cookies-for-chocolate-monday-sep-6th/) m'a intriguée, un brownie, c'est un gateau, c'est mou, alors qu'est-ce qu'un cookie-brownie peut bien donner ....

    Quelques recherches pour les conversions de poids et de mesures, et voilà ce que ça donne :

    DSC_0004Ingrédients :

    - 60 ml de Farine
    - 1/4 de cuill à soupe de levure
    - 1 pincée de sel
    - 2 œufs
    - 160 ml de sucre
    - quelques gouttes d'essence de vanille
    - 30ml de beurre
    - 200gr de chocolat noir
    - Des pépites de chocolat

    Préparation :

    Faire fondre le chocolat avec le beurre dans une casserole. Retirer du feu.

    Ajouter le sucre, puis les œufs, et enfin, ben, tout le reste.

    Déposer une cuillère à soupe de cette pâte un peu liquide sur un papier cuisson en espaçant bien, et faire cuire 9 mn. Attendez que ça refroidisse pour les retirer de la plaque, sinon, le biscuit se casse et une partie reste sur le papier cuisson, ce qui est bien dommage vu la tuerie que c'est.

    Oh, et c'est meilleur le lendemain ... si vous arrivez à être patient

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  • Dans le cadre du cylcle Bette Davis à la cinémathèque française.

    Attention, ceci est un film noir ! On s'attache aux personnages, et paf ... un peu comme dans Game of thrones  finalement. Bon, ok, ok, en moins violent. Mais quand même, quand je suis ressortie de la séance, j'étais un peu "down".

    Le truc, c'est que tout est dans les personnages et l'ambiance, une ambiance en huit-clos, dans le desert, dans une station service où le père fait partie de la milice, où le grand-père raconte ses anecdotes impliquant Billy The Kid et où leur fille (bette Davis) rêve de partir à Bourges en France et de vivre une vie bien plus trépidante que celle qui est la sienne. Il y a aussi le pompiste, joueur de foot américain et amoureux de la fille. Il y a l'artiste itinérant, poéte (Leslie Howard), un peu triste qui cherche une raison de vivre ou de mourir, et un peu plus tard, il y a un gangster (Humphrey Bogart), qui vient bousculer tout ce petit monde.

    C'était une jolie (et triste) découverte, réalisée en 1936 par Archie Mayo.


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  • Elle se trouve tout près des frigos, dans le 13e arr, (cf Les frigos, 91, Quai de la gare) et ce qu'elle a de particulier, ce sont des inscrutations de bulles de BD dans le trottoir, et d'autres accrochés aux poteaux, et aussi plein de poteaux anti-stationnement décorés (CyKlops).

    Alors si vous passez par là-bas, ça vaut le coup de s'y balader

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  • Cette série britannique a déjà 3 saisons, puisqu'elle a été créée en 2009. mais nous venons à peine de la découvrir.

    Contrairement à Ripper Street , l'histoire se déroule de nos jours, une série de crimes choquants et sanglants ont lieu à Whitechapel. Le "Ripperologiste" (ripper signifie éventreur en anglais) local Edouard Buchan est convaincu que quelqu'un marche dans les traces de Jack l'Eventreur, 120 ans après qu'il ait frappé la première fois.

    Mais la police va-t-elle l'écouter ? Entre l'un qui est tellement persuadé d'être un bon flic au flair certain, l'autre qui est un capitaine sans expérience, et les autres qui ne savent qui suivrent, ce n'est pas évident.

    Personnellement, même si ce n'est pas aussi prenant que Ripper street, ou Broadchurch (qui sont produites par la BBC, gage de qualité aparemment), j'ai quand même beaucoup aimé. L'intrigue est plutôt originale, et j'ai été convaincu par le capitaine.

    De plus, en 3 épisodes, l'intrigue de la saison 1 est bouclée.

    Je me demande ce qui se passe dans la saison 2 (qui fait elle aussi 3 épisodes) ....


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  • Au début du mois, je vous racontais notre passage à l'expo demy (Le monde enchanté de Jacques Demy), et le fait que je n'avais vu aucun de ses films.

    Il fallait que je corrige ça ! Alors j'ai profité de la rétrospective de la cinémathèque pour voir les demoiselles de Rochefort sur grand écran.

    J'ai été surprise de voir le gros casting : Catherine Deneuve (un gros nom d'affiche, mais vraiment, elle ne crève pas l'écran, elle est fade, et raide, et bah, pas aimé), Françoise Dorléac (la soeur de Catherine Deneuve, dans le film et dans la vraie vie, sacrément plus douée elle), Michel Piccoli, Danielle Darrieux, Gene Kelly, Georges Chakiris (west side story), Jacques Perrin.

    Bon, l'ensemble est assez kitch et pourtant ... on se laisse embarquer.

    Certes, ce n'est pas au niveau des comédies musicales américaines où les chorégraphies sont travaillées et où les troupes de danseurs sont synchronisées au millimètre près avec une jolie grace. Face à Gene Kelly et Georges Chakiris, les autres danseurs ne font pas le poids. Mais tout ça n'est pas bien grave, parce qu'à la fin, l'humour au second degré qui sous-tend cette comédie musicale nous met le sourire au lèvres. Les chassés-croisés sont rondement menés et la musique (de Michel Legrand) est entetante, on la fredonnait encore tout le reste de l'après-midi.

    Petit fait amusant : Danielle Darrieux est la seule comédienne non doublée pour le chant. Gene Kelly, ayant un emploi du temps trop chargé pour apprendre des chansons en français, a été doublé par un chanteur anglophone.

    Donc, si vous avez l'occasion de voir ce film, n'hésitez pas, ça donne un coup de boost au moral.


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